Décodage biologique

Tant que vous n’aurez pas rendu l’inconscient conscient, il dirigera votre vie et vous appellerez cela le destin.

Carl Gustav Jung

Le décodage biologique

La première étape de la guérison est la compréhension de ce qui se passe. « Quel est le message de ce symptôme ? »

  • qu’est-ce qui se passe en moi ?
  • quelle situation extérieure en est le déclencheur ?
  • pourquoi cela vibre négativement en moi ?

Trouver l’élément spécifique qui a déclenché les symptômes.

Le corps exprime ce que la bouche n’a jamais dit ou ce que le cerveau n’a jamais guéri. Dans le décodage biologique, l’objectif est de chercher, en s’entretenant avec la personne concernée et à partir de ses symptômes, l’évènement précis survenu dans sa vie qui peut avoir déclenché la douleur ou la maladie. Il s’agit d’isoler l’évènement moteur – le programme. 

Cela implique de plonger dans son Être profond, de faire face à ses traumatismes enfouis, ses peurs, son système de pensée, ses raisonnements, ses croyances et son passé.

De la prise de conscience à la guérison

Le processus de guérison passe souvent par un deuil à faire, une libération, une compréhension, une acceptation à vivre. L’hypnose et la PNL sont de précieux outils d’accompagnement pour aller contacter la partie inconsciente de l’Être et porter à sa conscience le choc émotionnel à l’origine du déséquilibre intérieur, du mal-être ou de l’état d’anxiété.

Que me dit mon corps à travers cet asthme, cette phobie, cette insomnie ou cette cystite ?

Il me dit quelque chose sur moi !

Thérapie profondément humaine, le décodage biologique n’a pas pour objectif de remplacer les traitements médicaux actuels. Il les complète merveilleusement en s’intéressant aux aspects psychologiques, physiques, émotionnels, affectifs. Il permet d’augmenter de manière significative les chances de guérison. 

Un exemple – « la peur des tunnels »

La claustrophobie dans les tunnels est une variante particulière de claustrophobie, donc de la peur des endroits confinés – la peur des lieux et des situations dans lesquels la fuite n’est pas possible.

En décodage biologique, la peur des tunnels mais aussi parfois des viaducs, peut trouver son origine dans un choc émotionnel ressenti par le nouveau-né lors de sa venue au monde. Un accouchement traumatique au cours duquel le passage du col de l’utérus est difficile entraînant un manque d’air (enfant bleu). L’enfant se sent coincé, obligé d’aller de l’avant, il doit avancer – ne plus reculer.

Solution thérapeutique : à l’aide de l’hypnose – proposer à la personne concernée de revivre sa naissance, ce passage du col de l’utérus de manière plus fluide en utilisant ses ressources acquises dans son expérience de vie afin de sortir de cette programmation phobique.